On y trouve les bureaux des différents médecins spécialisés ainsi que celui du directeur et de l'administration du site psychiatrique. On s'y rend de sa propre volonté lorsqu'on a des questions à poser, ou de façon contrainte et forcée lorsqu'on a tenté de s'évader.
C'est là que l'équipe de recherche développe les nouveaux psychotropes pour maîtriser les patients. On peut tenter de corrompre les plus faibles échelons afin de n'avaler que des placebos mais... à vos risques et périls !
La lobotomie, interdite depuis presque cent ans, n'est plus pratiquée. Mais c'est dans ces salles dites "de traitement" que l'on s'échine à "soigner" les patients. Outre les habituels lieux d'examens on y trouve aussi des salles d'isolement et de torture pour les plus réticents...
En 2075, les machines à café sont un peu plus développées qu'aujourd'hui. Il suffit d'y apposer une empreinte digitale pour qu'elle vous prépare exactement le café dont vous avez envie. Mais les conversations s'y font toujours autant, de façon... moins officielle.
Chaque médecin, infirmier et chercheur obtient dès son arrivée une chambre privative, avec salle de bain et kitchenette, afin qu'ils puissent dîner tranquillement s'ils n'ont pas envie de manger au réfectoire. Ces pièces se situent dans un pavillon secondaire, séparé de la bâtisse principale par un petit lot d'arbres derrière lesquelles il est dissimulé.