Aujourd'hui était un jour un peu spécial pour Lionel, car cela fait cinq ans qu'il a perdu son premier patient. Cinq qu'il se remémore le même moment, cinq ans qu'il revoit la souffrance d'une mère et d'un enfant... Le patient que Lionel a opéré en solo était un homme de 42 ans atteint de maladies de Parkinson, l'opération consiste à séparer les deux hémisphères puisque la communication passe mal. Le début de l'opération c'est plutôt bien passée mais c'est la suite qui à posé problème, Lionel a incisé trop profondément dans les hémisphère et à créer une hémorragie qui a augmenté la pression intracrânienne. Quand la pression intracrânienne augmente comme cela le cerveau et comprimé et sors là où il peut, en l'occurrence le crâne de cet homme était ouvert alors son cerveau à commencer à s'échapper de par là. Très vite Lionel à dis d'appeler le Docteur Dillard son Mentor, mais même avec s'il arrivait il n'aurait rien pus faire. La pression intracrânienne était redescendu, mais il avait perdu beaucoup de cerveau et même en ayant perdu une toute petite partie il n'aurait pas pus survivre. L’homme est donc déclaré en état de mort cérébrale, c’était le premier décès de Lionel en plus sur sa première intervention solo.

Lionel se dirige inconsciemment vers le cimetière non loin de la CHMI, la mort de cet homme l’accompagne encore une fois là où il va. Mais une question subsiste toujours dans sa pensée, peut-on repoussé la mort ? Etant médecin il s’est toujours dit qu’il était là pour narguer la mort, mais le peut-il réellement ? Avec du recule Lionel s’est aperçut que le métier de médecin consiste en outre à repousser la mort mais également de donner la chance de vivre ou de survivre au patient. Toujours en repensant à ce patient mort, Lionel à toujours refais l’opération « maudite » comme il l’appel pour ne jamais recausé la douleur qu’il à faîte. Toute en marchant il s’aperçut qu’il n’étais pas seul, il laissa échapper quelques mots assez fort pour que l’on entends.

« Il y a quelqu’un ? »